Le Parc a, comme tout territoire, une part de responsabilité dans le changement climatique au niveau mondial et il en subit aussi ses impacts. La recherche d’une plus grande autonomie de l’approvisionnement énergétique (pour les particuliers, les collectivités, les exploitants agricoles…), autrement dit par la réduction de la vulnérabilité du territoire, est à favoriser, avec :

  • l’accompagnement pour une plus grande sobriété énergétique (adoption de comportements et habitudes sobres en énergie) et une meilleure efficacité énergétique des bâtiments (isolations des bâtiments, mode de chauffage performants…)
  • le soutien au développement de toutes les énergies renouvelables (biomasse, solaire, géothermie, éolien…), en proportion des aptitudes du territoire pour le développement de chacune d’entre elles. Ce développement s’effectuera sous réserve de compatibilité avec les objectifs de qualité des paysages.
  • l’optimisation des capacités de stockage des puits de carbone naturels par une meilleure gestion des forêts.

Très liée à l’énergie et au climat : la qualité de vie…

La qualité de la vie est dépendante de la qualité de l’environnement dans lequel nous vivons (environnement agricole, forestier, patrimoine bâti, vie des villages…). Une augmentation de la pollution sonore, certaines formes de pollution atmosphérique, entraînent une dégradation de l’environnement, immédiatement perceptible. D’autres formes de nuisances, comme l’augmentation du volume des déchets ou les émissions de gaz à effet de serre, induisent des coûts environnementaux élevés.

Le Parc a un devoir d’exemplarité, dans la réduction des nuisances produites localement. Il interviendra aux côtés des collectivités compétentes dans la recherche, l’expérimentation et la promotion de solutions alternatives :

  • la prévention de la production des déchets et l’amélioration de leur gestion avec, par exemple, une valorisation par des filières locales de recyclage,
  • la réduction des sources de nuisances sonores et des pollutions atmosphériques,
  • l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments et le développement des énergies renouvelables,
  • la limitation et la réduction des émissions de gaz à effet de serre en favorisant notamment les moyens de transports alternatifs et non polluants.

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En résumé

Économiser l’énergie et contribuer à sa « décarbonisation » par un développement des énergies locales renouvelables.

Réduire la production de déchets et expérimenter les solutions d’une meilleure gestion.

Mesurer les nuisances sonores et les pollutions afin d’en réduire les sources et les impacts pour conserver la vocation de zones de calme, indispensables à l’équilibre régional.

  • Etablir des règles de circulation sur les chemins
  • Veille sur les couloirs aériens

Réduire les émissions de gaz à effet de serre par les modes de transports, en favorisant le développement des transports en commun et de moyens de transport alternatifs non polluants adaptés aux caractéristiques du territoire.

Empreinte carbone 2020 : grâce à l’empreinte carbone aujourd’hui il est possible de comparer les impacts de ces activités selon différents modes de vie, et ainsi de mesurer leurs impacts sur l’environnement – Kelwatt.fr